Chères Amies, Chers Amis,

Dans le cadre du « Guide des thérapeutes en Géobiologie et Feng Shui » paru dans la Revue Recto-Verseau, mensuel n°294 du mois de mars 2018, il m’a été demandé de présenter mon activité en répondant aux quatre questions posées.

Vous découvrirez l’article tel qu’il est paru dans la revue, extrait du texte original en cliquant sur le lien ci-après.

L’article que j’ai écrit parle également du potentiel de vitalité des objets qui nous entourent, des lieux que nous fréquentons, des produits ménagers et cosmétiques que nous employons au quotidien et des aliments que nous ingérons.

Il me paraît important de ne pas cantonner ou cloisonner cette notion de vitalité uniquement à la pratique de la géobiologie mais, au contraire, de l’élargir à notre vie en général.

Voici donc les réponses aux questions, avec le texte intégral :

Pourquoi avez-vous choisi de pratiquer la géobiologie ou le Feng Shui ?

Durant de nombreuses années, je m’étais formée dans divers domaines touchant à la médecine dite « parallèle » ou en rapport avec la santé et le bien-être (homéopathie, soins énergétiques, diététique, massage, yoga, Feng Shui, etc.), mais il me manquait un « lien » entre toutes ces diverses pratiques.

Pour moi, la géobiologie s’est avérée être le chaînon manquant permettant de relier l’ensemble de ces domaines, tout en les complétant. L’influence de l’habitat est trop souvent négligée de nos jours alors que son importance est primordiale pour notre santé et notre qualité de vie.

Comment vous êtes-vous formée et depuis combien de temps pratiquez-vous ?

C’est à partir de l’an 2007 que j’ai commencé à suivre des stages de base en géobiologie et Feng Shui. Avant cela, je ressentais les lieux et les énergies, mais sans vraiment pouvoir verbaliser les sensations qu’ils évoquaient, ni faire des liens entre eux.

Ces premiers stages ont très vite été suivis par de nombreux autres cours et formations, en Suisse et en France, que ce soit dans des environnements urbains ou ruraux, fermés ou en extérieur.

Cela fait donc maintenant plus d’une dizaine d’années que j’exerce la géobiologie.

Comment définissez-vous votre pratique ?

Je définirais ma pratique comme :

  1. Une pratique « holistique » avant tout, la plus complète possible, faisant aussi appel à d’autres domaines lorsque cela s’avère nécessaire… Tout est lié !

A mes yeux, il est donc important de proposer des solutions issues parfois de domaines adjacents afin d’aider au mieux l’Habitant (ou la personne en demande) pour que son bien-être et/ou sa santé s’améliorent.

  1. Une pratique « didactique », notamment en ce qui concerne les ondes électromagnétiques et les hyperfréquences.

Cette approche est importante, car il me paraît nécessaire non seulement d’informer les gens des nocivités potentielles de l’environnement dans lequel ils vivent, mais également de les aider à pouvoir agir par eux-mêmes en évitant ces nuisances.

Dispenser des conseils pratiques et faciles à mettre en œuvre au quotidien ; et par des gestes simples, leur éviter une surexposition inutile et, à terme, dommageable pour la santé.

  1. Une pratique concrète dans l’application des principes de géobiologie étendue à d’autres domaines, comme par exemple dans la fabrication de produits d’usage courant, tels les cosmétiques ou les produits ménagers.

Depuis toujours, je me suis demandée : « Comment se fait-il qu’en géobiologie, on nous apprend à localiser les zones potentiellement nocives pour la santé, à les neutraliser quand cela est possible, à libérer les mémoires d’un lieu, à augmenter le potentiel vital d’un lieu, à accroître l’harmonie d’un habitat, etc., et que par ailleurs, ces principes sont loin d’être appliqués dans les autres domaines de la vie, notamment en ce qui concerne les produits que nous utilisons quotidiennement, comme par exemple les cosmétiques (savons, crèmes, shampoings, dentifrices, déodorants, etc.).

Nous continuons donc, presque aveuglément, à enduire notre peau de produits qui n’ont qu’un potentiel de vitalité très bas…

A l’heure actuelle, les produits proposés pour le grand public dans les magasins :

  • sont conditionnés dans des contenants qui n’ont pas été désinformés de leur « mémoire », alors que ce type de nettoyage est pratiqué en géobiologie pour les lieux.
  • contiennent souvent des ingrédients de basse qualité, et donc partent déjà avec un potentiel de vitalité bas.
  • n’ayant pas été dynamisés ni harmonisés, ni séparément, ni en synergie… alors qu’en géobiologie généralement une dynamisation-harmonisation simple puis synergétique des habitants et de leur habitat est d’usage.
  • possèdent un potentiel de vitalité faible, alors qu’en géobiologie il est fondamental d’augmenter le potentiel vital afin que le lieu soit sain, équilibré et propice à la vie.

Je trouvais donc qu’il était peu cohérent d’harmoniser les habitats et autres lieux, alors que je continuais moi-même à m’enduire la peau et les cheveux de produits qui ne possédaient qu’un taux de vitalité très faible.

C’est ainsi que, suite à ce non-sens, j’ai commencé il y a quelques années à fabriquer mes propres produits énergétiques, bio, et pour certains même…comestibles !, avec les mêmes principes que j’applique en géobiologie !  😉

Que souhaitez-vous apporter par cette pratique ?

Tout d’abord, je souhaite :

  • Éviter l’apparition de pathologies qui seraient liées à un lieu (habitat, travail, etc.).
  • Ralentir, voire stopper, l’évolution de pathologies existantes.
  • Améliorer la qualité du sommeil.
  • Améliorer la récupération de l’organisme afin que les gens puissent jouir d’une bonne santé et la conserver longtemps.
  • Apporter davantage d’harmonie au sein de l’habitat.
  • Apporter bien-être, paix et se sentir « bien chez soi ».

Il me tient également à cœur que cette discipline, quelque peu oubliée de nos jours, puisse à nouveau être appréciée à sa juste valeur et être accessible à tous.

C’est dans ce but que j’ai écrit un ouvrage pratique à visée « grand public » (parution été 2018), afin que tout un chacun puisse non seulement être conscient des nocivités telluriques et électromagnétiques qui l’entourent, mais  puisse également disposer de moyens pour diminuer son exposition aux différentes nuisances, grâce à des conseils pratiques et simples à mettre en œuvre.

Géobiologiquement Vôtre

Eva Dolezel